Sur mon vaisseau intersidéral….

Couché sur mon vaisseau intersidéral, naviguant dans l’immensité universelle des rêves je regardais les étoiles, les galaxies passer puis l’équipage dit :

Vous avez vu ce point bleu là bas ?

Le créateur aurait-il eu l’idée enfin de changer de couleur d’encre ?

Moi je le regarde le museau pensif et en me disant : – Faudrait arrêter les croquettes à base de viande d’origine stellaire douteuse et de légumes qui se promènent sur deux pieds…

Notre vaisseau s’arrêta aux abord de cette planète bleue appelée Gaïa mais également Terre.

Je regardais le sable, étonnament le grain de sable ne choisissait pas où il voulait aller… Il était poussé par le vent dans les dunes, dans l’immensité des plages, puis se retrouvant la tête sous l’eau dans il n’avait pas le choix du goût de l’eau… Eau de mer, eau douce…

Franchement j’aurais choisi : – eau secours !

Astra : Ethos qu’est-ce que tu racontes encore ?

Puis je regardais les différents peuples sur la terre, il est marrant de regarder les similitudes entre certaines espèces.

Si on regarde les troupeaux de zèbres, ils sont un peu comme les peuples que l’on retrouve du côté de Tokyo ou de New York : Dès que c’est vert je fonce et je traverse….

Un zebron regarde un crocodile : – C’est vert également je peux lui marcher dessus ? – Non il doit être légèrement périmé car le vert tourne au brun, et puis y a plein de pustules blancs en dessous des narines… Traverses la rivière… Tu vois là bas la végétation est verte ! Ah oui !

Bon ok y en a toujours un hurluberlu de la troupe d’une cinquantaine de personnes qui doit faire l’idiot pour se faire remarquer mais bon…

Puis-je regardais ce grand lac, une majestueuse étendue d’eau où à part quelques oiseaux, quelques grands trucs de métal qui traversent le lac, il se passe presque rien… La bise danse sur l’eau et un grand glacier donne vie à ce lac rien qu’en lâchant goutte après goutte, il créé une grande autoroute qui devient un lac puis continue plus loin vers un autre grand lac et ainsi de suite pour jeter son eau dans la mer qui médite, elle s’appelle ranée !

Astra : Mais non c’est la mer Méditerranée !

Ethos : Ah…

Je regarde ces humains dans ce petit pays puis je montre à maman Astra : – C’est quoi cet humain avec une canne blanche ?

Ben disons qu’il en a besoin pour se déplacer car il ne voit pas la beauté de la terre, il voit peut-être peu ou pas du tout et c’est le noir complet…

Mais c’est triste…

Astra : – C’est comme ça ! Mais il existe des héros qui les aident chaque jour !

Ethos : Ah oui ?

Astra : Oui, regardes tu vois là y a un chien qui guide la personne en étant en osmose elle fait une pure confiance à son chien pour l’amener où elle doit aller… Tu as fini de bouger ta queue dans tous les sens tu vas finir par la coincer sous la caisse à outil…

Ethos : – Mais j’y peux rien ! Elle bouge toute seule…

Astra : – Mon cher fils, je crois que tu as trouvé ta vocation, c’est d’aider un humain dans sa vie de tous les jours !

Ethos : – Tu crois ?

Astra : Regardes vu que nous pouvons voyager dans le temps avançons les choses de quelques temps : – C’est toi qui nait… Et quel morceau !

Ethos : Ben il faut bien un XXL pour un maître XXL !

Astra : – Tu vois avançons encore, là y a un chien qui devient vieux et son détenteur doit s’en séparer…

Ethos : – Mais c’est triste ! Ils ont vécus tant de choses ensemble et ils doivent se séparer !

Astra : Oui mais regardes le cœur du chien guide âgé et du détenteur sont toujours relié par l’amour inconditionnel et cet amour est gravé !

Ethos : J’ai envie de tenter l’aventure ! D’ailleurs ce détenteur là il a besoin de moi et également je sens qu’on va bien rire et il est dans le respect d’autrui c’est beau !

Astra : Vas-y mon beau fils Ethos ! Il t’attends le cœur grand ouvert et plein d’amour…

Les aborigènes tout comme les aveugles pensent leur trajet.

Humour du jour :

Les aborigènes tout comme les aveugles pensent leur trajet.

Le chien guide d’aveugle que ce soit dans le valais ou dans la campagne fribourgeoise / vaudoise / jurassienne / Neuchâteloise.

Maison – > Arrêt de bus -> Gare -> A gauche -> Travail

Dans le canton de Genève pour le chien guide d’aveugle :

A peine fait 50 mètre : – On va au café prendre un bol d’eau j’ai besoin d’une ou deux croquettes pour comprendre où passer…

Selon le cosinus de ça la barrière n’était pas là hier donc je pouvais selon le théorème de Pythagore passer par la tangeante et prendre le tram. Et selon la loi de Newton poser mes coussins naturels sur le sol du tram pour y piquer un roupillon pendant la dizaine d’arrêts.

– Je bois un peu

Donc il faut passer par la gauche alors que le tram se trouve à la droite. Bref encore un architecte qui a dessiné un plan vite fait avant que la mine de son crayon se casse en voyant le dessin et en crachant le reste de graphite qu’elle contient et de casser de désespoir en voyant le dessin qui n’a pas de sens !

Bon tu viens ? Je me suis requinqué, j’ai compris par où passer pour prendre le tram et on a juste 20 minutes de retard sur le planning…

Donc c’est raté pour le train à la gare Cornavin mais en passant par la petite gare là on peut attraper la correspondance !

Le magicien dose

La toponymie est quelque chose d’intéressant même s’il n’y a pas grand chose sur certains lieux-dit.

Ethos : Je suis né aux Hauts Tierdoz…

La question est tu as bu le tiers d’eau que le magicien a laissé mais c’était le tiers du haut ou le tiers au fond ?

Si tu as bu le haut, tu devrais avoir les idées et les pattes magiques !

Ethos : – Va sur l’ile d’Ogoz crier au gaz !

Tu vois tu t’y mets aussi 😉

Ethos : – Ben c’est normal tu déteins sur moi…

Si j’avais déteins sur toi l’histoire serait tout autre et on serait allé dans le lac noir se nettoyer !

Maman !!!